Τετάρτη 14 Ιανουαρίου 2009

En Francais pour ceux auxquels je l'ai promet

C'est vrai que chaque problème nous concerne seulement si on est un morceau de lui. Est ce qu'on est des égoistes nous les hommes? Il m'est arrivé plusieurs fois au passé de saluer un ami, un parent qui venait faire son service militaire - qui est toujours obligatoire en Grèce et il dure 12 mois - et c'est vrai que j'ai jamais eu une bonne opinion pour cette fondation de mon pays. De toute façon c'est au coeur de l'armée où il était né le Coup d'Etat et la Dictature des collonels en 1967. Toutefois, c'est maintenant que je vis dans l'armée que je me demande comment est ce qu'on peut conserver une telle obligation pour nosd compatriots en 2008. Le texte qui suivit n'est pas scientifique (même si je peux toujours amenet milles preuves journalistiques de mes paroles)...c'est un dêpot de coeur d'une personne comme tous les autres qui souffrent pour le "bohneur de leur pays"! Non, on ne parle pas de Chine...



"Tout d'un coup tu te trouves renverse la tête vers la terre...même sous-sol de temps en temps de façon dont la respiration parait une procédure luxurieuse. L'attribut du soldat est quelque chose qui vient se coller sur toi sans ton permis.
A 25 ans, il y avait milles fois que j'ai osé penser que j'ai tout vu. Toutefois, l'expérience de l'armée est quelque chose d' exceptionnel. Je n'imaginais jamais un monde qui continue rouler d'une telle façon en 2008. Cependant ce n'est pas un truc que je n'éviterais pas si je le pouvais. En Grece on a l'habitude, qui devient des fois de tradition, de croire que la fierté nationale passe par l'armée. Pour que tu sois un grec propre tu dois apprendre utiliser les fusiles, hainer tes pays voisins et être préparé a tuer quelqu'un pour le "bonheur" de ton pays. Quand tu traverses la grande entrée du camp militaire, la direction a l'inverse ne reste plus une option.
Notre première rencontre, donc, avec la fondation qui s'appelle armée grecque n'était pas la plus chaleureuse. Et c'était con de ma part de penser que j'étais David. Ptit David qui pourrait avec seule une pierre vaincre le titan-Goliath. Tant que je réagissais a toute action illogique d'elle tant que la douleur augmentait. Résistance a des discours ultranationalistes, des tactiques d'obéissance qui semblent d'une époque longtemps finie. Mais le resultat est toujours le même...rien!!
L'oxymore d'un soldat comme moi, c'est l'isolation. Parmi quelques centaines des personnes je ne me suis jamais senti plus isole dans ma vie. Là, où idéalement c'est la cooperation et l'ésprit de l'équipe qui augmente le morale du troupe chacun vit pour soit-mémé. Il essaie éviter les travaux lourdes, se méfier de ses supérieurs et passer son temps le plus calme possible, plusieurs fois au détriment de ses collègues. Pendant les nuits difficiles, il me fallait fermer les yeux et diminuer la distance entre moi et mes proches - amis, famille et personnes aimées. Le sentiment qu'ils étaient tous la à me supporter m'aidait survivre...

J'exagère? C'est possible...mais c'est comme ça que j'ai vécu l'armée jusqu'aujourd'hui...4 mois a l'armee je peut le dire - les fusiles, les armes de destruction et le hacki ne va pas pour tout le monde. Chaque expérience dans la vie a des goûts différents. Bon, l'armée me donne un goût amarre...il s'agit d'un plat lourd pour mon estomache.
Aujourd'hui je continue a me consacrer au service de mon pays. Non, je ne suis pas Jeand'Arc - ca je le sais maintenant. Je suis un simple soldat qui compte les jours pour le repos prochain. Mes proches viennent toujours quand je ferme mes yeux, mais heureusement les cauchemares ne les suivent plus. Et ce dans ce point là, qu'il m'arrive une idée terrifiante: Aristotelis a raison. L'éthique humaine vient toujours de l'habitude. Je me suis habitues aux harkis...je me suis habitué a l'incarcération dans le camp...je me suis habitué aux repas horribles lesquels je dois
manger quotidiennement...je me suis habitué aux paroles ultra nationalistes...je me suis habitué à ne pas répondre à rien même si je souffre...je me suis habitué a l'humiliation...je me suis habitué aux insultes, lesquelles a l'armée sont synonymes de virilite. Enfin, je me suis habitue a l'idée que notre monde ne changera jamais, puisque Kemal* est dans son chameau en direction du Paradis!!"

*il s'agit d'une chanson grecque qui se referre à Kemal et son éffort de limiter la famine à l'Est.

La synthèse de cette morceau est de M. Xatzidakis

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