Elle traverse la période la plus
obscure de son histoire récente. Elle se transforme au cheval de
Troie pour toute l'Europe en menaçant sa propre existence. La Grèce
se balade entre la porte de la zone euro et la marginalisation !
Dans ce contexte, le gouvernement socialiste, en essayant de montrer
ses réflexes progressistes, décide dépénaliser la consommation
de drogues. C'est une blague ? Ça pourrait être une pour les
jeunes grecs, qui sont la part de la société qui souffre plus de
ces mesures d' austérité. Où même une dernière effort de la part
de gouvernants de montrer qu'ils le peuvent être là pour eux. Qui
sait ? En tout cas la loi de dépénalisation a pris sa voie
pour le parlement et change radicalement le comportement de l’État
grecque face aux consommateurs.
La Grèce est jusqu'aujourd'hui le pays
qui exerce les amendes les plus strictes aux consommateurs parmi les
pays européens. «Les sanctions pour la consommation des drogues
sont 500% plus strictes en Grèce par rapport aux autres pays de
l'Europe » sous-signe Yannis Panoussis professeur de
Criminologie et président du jury portant avis sur cette nouvelle
loi de dépénalisation. « Un homme peut être condamné à 20
ans de prison, quand le même crime lui apportera 5 ans de prison
dans un autre pays » il ajoute.
La nouvelle loi semble comme une chance
pour quelqu'un qui a été arrêté pour de consommation d' être
optimiste. Beaucoup plus pour les jeunes dont 31% vérifie aux
sondages qu'il a fait usage au moins une fois des drogues. Loula, 34
ans, vient de sortir du programme de détoxification. Elle attend que
la court traitera son cas depuis 2005. « On m' a accusé pour
de traffiquage de drogues juste parce que j'ai eu ma dose dans
mon sac à dos». Le court est annulé pour Mars 2012 et Loula se
porte optimiste qu'avec la nouvelle loi le jury la présumera pas
coupable. « Tu te fais arrêté avec une pilule, et la charge
est que tu fais de la traffiquage. Ça doit changer avec la nouvelle
législature » dit-elle aujourd'hui libre de la dépendance des
essences d'illusion.
« Tu veus que je te dise mon
opinion ? Chaque chose interdite est plus charmante pour les
gens. Si la consommation de drogues se dépénalise on en aura moins
de consommateurs » dit Loula consommatrice depuis 14 ans. Même
si la nouvelle loi prévoit la dépénalisation seulement pour des
consommateurs qui prennent leur dose chez eux, et sanctionne la
consommation aux lieux publiques, la Grèce fait un pas vers la
propre traitement des consommateurs.
Il est temps que la Grèce traite les
gens dépendus des drogues commes des patients et pas comme des
criminels. Mais est ce que cette période de crise financière laisse
les mains libres aux officiels à fin d' exercer cette loi ?« La
méthode thérapeutique doit être basée à la présomption qu'il y
en a de l'argent. Quand le ministère de la justice présente la loi
de dépénalisation, le ministère de la Santé coupe le finance de
l'organisation contre les drogues (OKANA) à moité. » explique
m. Panoussis qui croit qu'il est possible que cette loi légitime
sera annulée à cause de la crise. « Quand un juge sait qu'il
n'y a pas des places pour un gen dans un programme de détoxification,
il décidera de le sanctionner à fin de le proteger » estime
m. Panoussis.
Par Lefteris Savvidis
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